Bonheurs de Chasses Tome 1

Préface A QUATRE MAINS.

Hubert n’est pas un Saint………….Il est « Homme ». Il se réjouit de la pluie, du froid, du soleil…Il sent la terre, les arbres, les fleurs……Il observe les oiseaux, les papillons, les chevreuils……. C’est aussi un homme complexe et paradoxal. Il est très «nature», d’abord fermé puis accueillant, souvent épineux mais généreux toujours, il oscille en permanence entre le concret et la rêverie poétique.

Hubert est un homme des bois assez solitaire, il a d’abord enseigné la foresterie, puis dirigé divers centres de formations forestières à la pédagogie innovante, avant de devenir chef d’entreprise.

Mais Hubert est surtout habité, dévoré par une passion : « La chasse dans des espaces de nature à topographies variées et sous toutes ses formes ».

Enfant de la Somme, il court d’abord la plaine et les marais de l’exploitation familiale. Arrivé dans l’Est de la France, il s’initie au grand gibier sans oublier le lièvre et la sarcelle qu’il cueille volontiers au-delà des frontières hexagonales.

Hubert était capable d’interrompre un cours pour suivre, avec les élèves, un vol d’oies sachant sur quel plan d’eau ou prairie elles allaient se poser.

Hubert, au moment du brame, faisait dormir en forêt élèves et formateurs pour mieux leur faire comprendre et sentir le milieu.

Cette règle d’or «connaître et comprendre pour agir», Hubert l’applique toujours avec constance. Son approche de la chasse se transforme en fonction du milieu dans lequel il se trouve. Son mimétisme lui permet alors de se fondre dans la nature. Il s’adapte et renouvelle constamment sa quête.

Hubert, chef d’entreprise, est allé jusqu’au bout de ses convictions et de ses engagements. Il a su faire cohabiter ses multiples activités professionnelles débordantes et chasse avec discernement et organisation. Même sous fortes contraintes, il a toujours honoré nos divers rendez-vous cynégétiques les plus fous quelques soient l’heure et le lieu.

Durant ce riche parcours de vie, Hubert a croisé beaucoup de gens et retenu quelques amis qui se comptent sur les doigts d’une main, dont les deux guetteurs d’ombres signataires de cette préface. Ils sont tous les deux, entre autres, forestiers, chefs d’entreprises et chasseurs passionnés, l’un est aussi taiseux que l’autre est intarissable, mais lorsqu’il est question de chasse depuis près de 40 ans ce trio – là n’a pas besoin de parler, il se regarde et communie.

Hubert possède des talents de conteur nous le savions ! Mais il faut avouer qu’à l’annonce de son envie de coucher sur le papier quelques histoires, nous avons bien ri. Quelques temps après, nous voici bien pris.

Que ce recueil d’histoires naturelles vous donne envie de poursuivre votre quête et si vous ne chassez pas d’accompagner des chasseurs dans une nature sans cesse renouvelée et modifiée.

La chasse n’est pas qu’une activité rurale, elle est aussi péri-urbaine et urbaine. C’est une aventure civilisationnelle, car en tout homme sommeille un disciple de « Saint-Hubert »…..

Les guetteurs d’ombre  «Q.C et D.G»

Bonheurs de Chasses Tome 2

Préface :

Hubert nous fait réaliser un plongeon dans les émotions originelles où se mêlent odeurs, images, actions, attentes, expérience et chance. Il nous dévoile les caresses du vent, la douceur du soleil, la morsure du froid et l’épreuve de l’approche  pour nous faire découvrir enfin « les bonheurs de chasses ».

Il célèbre les milieux sauvages et leurs habitants, animaux et végétaux, pour les magnifier. Il nous conte la quête du chasseur, la capture de l’animal et ses prouesses techniques, la chance, les échecs et les réussites. Il nous parle des gens qui, en nombre, abandonnent leurs rangs sociaux, leurs opinions et leurs problèmes pour vivre des instants d’un temps différent, en solitaire ou en équipe.

L’humain n’a pas réussi à remplir complètement notre vie et c’est bien ainsi ! La fascination pour la nature et la soif de verdure nous ont animé « Hubert et Moi ». Bien sûr, dans nos vies, nous avons fait des concessions, parfois lourdes, pour nous adapter aux lois économiques. Mais j’ai l’intime conviction que notre attachement à la nature et à toutes les activités qui s’y greffent, nous ont permis de préserver un espace magique où se mêlent immédiateté et intensité du temps, légèreté de la vie en adéquation avec la soif de connaissances et de surprises toujours au rendez-vous pour notre plus grand bonheur en apesanteur. Nous avons conscience des lois intangibles qui règnent dans ces mondes et parfois, un étrange sentiment d’appartenance à quelque chose d’un peu mystérieux nous intègre dans ce milieu naturel au-delà des générations et des destins pour nous faire découvrir « le mimétisme ».

Bel effort que de coucher tout cela en 36 histoires vécues, imagées et poétiques. Nous y trouvons des émotions intenses, souvent éphémères, autour de véritables partages en compagnie de personnalités révélées. On y croise des personnes captivantes, pleines de saveurs et d’envies de transmettre. On trouve également des échecs cuisants et des réussites enthousiasmantes. La réalité des ambiances décrites apporte un bonheur coloré, presque irréel ! On découvre le silence et son monde, l’attente et l’école de la patience avant de se laisser envahir par la rumeur, les odeurs, l’espoir, les bruits, le tumulte et le tonnerre. La déception et la joie s’y côtoient en laissant un interstice au doute et à la sérénité. Une autre raison de vivre !

«  Francis CÔME ».

Bonheurs de Chasses Tome 3

Extrait

Battues Alsaciennes en Novembre.

Nous partons ensemble le vendredi midi, Isaac et moi, afin d’être sur place le vendredi soir. Nous logerons dans un gîte rural situé près de la chasse visée. Les kilomètres défilent, nous parlons du programme qui nous attend et Isaac respire l’envie de vivre ces battues Alsaciennes. Aussitôt arrivés, après avoir parcouru plus de 500 kms, nous déposons nos sacs dans le gîte et nous échangeons quelques mots avec la propriétaire qui semble s’ennuyer dans sa grande maison typique d’une vallée riche entre Saint Dié et Colmar.

je souhaite faire découvrir à mon ami quelques douceurs locales subtiles et fines comme les parfums d’une forêt fin Juin après une pluie d’orage. En premier, nous rentrons dans une distillerie artisanale qui propose plus de 80 alcools différents. Cet établissement est tenu par une femme élégante, gracieuse et qui semble veloutée comme ses produits. Une salle aménagée pour la présentation des productions et leurs dégustations étonne mon accompagnateur. Il est sous le charme des liquides, pas seulement, et se liquéfie à chaque gorgée. Aussitôt il me dit :« Hubert, nous devrions ouvrir un établissement comparable sur Paris, c’est le carton assuré !». Je lui souris et ajoute « une ambiance a besoin de son environnement car l’environnement génère l’ambiance ». Nous arrêtons notre choix sur la prunelle sauvage et la framboise des bois. Les parfums sont si fins, si légers et si puissants que nous nous envolons vers le comptoir où la jeune caissière nous attend avec un sourire qui nous fournit le parachute. En quittant ce paradis des alcools blancs dominants, nous nous dirigeons vers un viticulteur indépendant et « bio » qui vinifie son vin et le vend lui-même. Dès l’entrée, un sourire nous accueille et Isaac n’est plus tenable. Il propose à cette belle personne, de la filmer, avec son dernier iphone, en présentant ses vins et il lui garantit des milliers de « followers ». Incroyable mais vrai, elle court dans l’arrière salle pour revenir quelques minutes plus tard, maquillée et coiffée, elle est métamorphosée ! Isaac est aux anges et moi je cherche la part des anges. Finalement après cette animation improvisée et très réussie, nous repartons avec du Crémant d’Alsace et du Riesling que nous rapporterons chez nous, à l’intérieur !

Pour le soir, il est prévu de souper dans une brasserie que je pensais bien connaître, et d’y retrouver « Jacques » le gestionnaire et responsable de la chasse du lendemain. Le patron nous accueille avec un sourire intéressé, nous comprendrons pourquoi plus tard. Apéritif et c’est parti. Des piliers de bar vont rester plus de deux heures à boire des apéritifs et rire de rien, c’est affligeant pour eux surtout. Le repas se passe bien, à part le coup de la bouteille de vin rouge que nous refusons de terminer en expliquant au patron les reproches que nous constatons. Il est d’accord avec nous et nous recommande un autre cru, bien mieux celui-là, que nous acceptons, en imaginant naïvement que cette bouteille remplacerait l’autre abandonnée. Qui l’eut cru, il nous facturera les deux sans problème pour lui. Juste avant le dessert, un SMS de Jacques annonce son arrivée dix minutes plus tard. Juste le temps de terminer le repas et nous choisissons de goûter avec notre « frère » Jacques un des Armagnacs proposés par le patron pour trinquer à la réussite des chasses du lendemain et de dimanche matin. La soirée découverte se poursuit, les verres glacés se remplissent et se vident dans une ambiance détendue et presque désintéressée, sauf pour un ! Vers une heure du matin nous décidons d’aller dormir un peu et de régler l’addition que nous trouvons super salée. Le patron des lieux n’a pas hésité à nous facturer les deux bouteilles de vin, dont une « fut rendue », tous les apéritifs et tous les digestifs, même ceux qu’il a bu. Nous avalons difficilement la note et décidons de ne plus jamais revenir dans cette brasserie digne de celle des « Thénardiers ». Ne voyant pas Cosette, nous partons sans nous retourner.

Le rendez-vous pour la première journée de battues est fixé à huit heures trente au pavillon en rondins de bois qui se trouve au milieu du territoire de chasse. La surface du lot s’étend sur plus de 1200 hectares. La forêt domine, des prairies s’imbriquent et des paysages de moyenne altitude corroborent ce décor typique Alsacien. Des épicéas communs, des mélèzes d’Europe, des sapins pectinés et des douglas composent avec des pins sylvestres « les résineux ». Pour les feuillus, chênes et hêtres assurent l’essentiel de la strate arborescente tandis que les alisiers occupent en majorité la strate arbustive. Les pentes, les dénivelés, les combes, les pierriers et les ruisseaux magnifient ce décor. La France dans sa diversité reste unique et géniale.

Bonheurs de Chasses Tome 4

Préface

La chasse me réjouit et me soigne !

Après beaucoup d’hésitation, je vais essayer de vous présenter les raisons qui justifient, à mes yeux, le pourquoi de ma chasse aux bonheurs. Une passion raisonnable ne peut exister. Une folie anime les passionnés jusqu’à l’épuisement de nos entourages exaspérés par notre addiction qu’ils souhaitaient découvrir avant de la haïr. Nous sommes un peu dans le paradoxe, mais pas tant que cela ! Nous aimons, nous protégeons et nous récoltons, sauf que pour atteindre cet objectif, nous tuons, parfois ! Nous sommes et je suis « un primitif » qui revendique une partie de nos origines qui consistait à récolter pour manger et survivre. Aujourd’hui, nous sommes des super-prédateurs, pas tous affamés, mais toutes et tous à la recherche d’émotions primitives qui nous sont vitales, sans la carte, et nous rapprochent de notre ancien monde.

La vie en vert, au vert, avec son verre pour le remplir d’eau-de-vie et vivre pour que le vert dure. J’adore cette déclinaison tout comme j’admire les beautés naturelles magnifiées par une touche d’un vert unique, inqualifiable et qui n’existe que dans la nature. Ces touches de couleurs évoluent au cours de la journée, de l’aube au crépuscule, sous le soleil, la pluie, la neige, les teintes varient et offrent à celles et ceux qui s’en approchent, des tableaux surréalistes. Une préférence pour le « fauvisme », art né au début du xxe siècle grâce à Matisse notamment qui osa associer des couleurs vives comme le rouge et l’orangé ; car je trouve qu’en regardant la nature, non pas de sa fenêtre, mais au contact des éléments « végétaux-animaux – eau-feu et planètes », nous possédons la plus belle galerie de peintures naturelles. Pour vous convaincre, il vous suffit d’observer un ou plusieurs, levers et couchers de soleil aux quatre saisons pour vous persuader de cette réalité.

Dès mon enfance, j’ai compris que « la chasse » serait ma source de bonheurs intarissable. Nous n’avions pas de salle de bains, ni de télé, ni de téléphone portable, ni de tablette, ni d’ordinateur et Internet n’existait pas. Nos plaisirs se limitaient à la vie de famille en vase clos. Nos sorties autorisées nous permettaient d’aller à l’école et à la messe. Pour les garçons, dès l’âge de sept ans, vous pouviez porter le carnier de votre père en le suivant à la chasse. Pour ma part, cette chasse m’offrait une évasion salvatrice. Plus j’allais à la chasse, plus j’en avais envie et cette chasse aux bonheurs se poursuit encore aujourd’hui, plus de cinquante ans après. Certaines ou certains consultent un spécialiste pour leur donner envie, avoir envie et faire envie. En allant à la chasse, tu t’offres une cure naturelle aux bienfaits multiples que la nature préserve pour nous « les passionnés ». C’est mon vaccin !

Chacun son éden en acceptant que nos plaisirs peuvent être différents. Bien sûr qu’entre le chasseur de gibier d’eau, passionné par la tonne -le hutteau ou le gabion, et le chasseur-tireur-posté de grand gibier, les plaisirs de chasses ne se trouvent pas aux mêmes endroits. Si j’osais, je dirais que j’ai ou que je n’ai pas, la cartographie des points « G » des bonheurs de chasses. Nous sommes en quête de ces points avec des chiens de grande quête et nous menons l’enquête en s’approchant des bêtes qui nous attirent.

Beaucoup d’entre nous aujourd’hui, viennent ou sont issus de la chasse au petit gibier. Je veux parler de celles et ceux qui affichent plus de quarante validations annuelles. Cette origine nous laisse insensible à la grosseur ou au poids qui honore les exploits des jeunes générations qui s’exhibent sur les réseaux sociaux avec des selfies montrant leurs prises en précisant les mensurations. Je suis plus heureux de réussir un doublé de bécassines, sourdes ou des marais, que de mettre au tapis un gros keiler dans une forêt-parc. Le plaisir de récolter un animal sauvage, de souche certaine, petit mais élégant, vif comme l’éclair et qui offre une palette de parfums uniques dans votre assiette, est incomparable. Cette motivation pour l’exception m’a conduit un jour vers la Norvège pour y croiser des lagopèdes, mais pas seulement ! À mon retour de ce périple raconté dans le tome 3 – histoire N° V de Bonheurs de Chasses, un chasseur Francilien me dit en se moquant ouvertement : « Tu as fait plus de cinq mille kilomètres pour tuer un lagopède ! » Je lui ai répondu juste par un sourire car je ne voulais pas lui expliquer toute l’alchimie des émotions que je recherche. J’aime ce mot « alchimie » qui serait l’art de purifier l’impur, nous y voilà !

À chaque période de ma vie, la chasse m’a permis de vivre au contact d’une nature généreuse. Il est évident que de remplir sa besace ou son carnier n’est pas la seule raison qui me motive à chasser. Certaines ou certains privilégient la traque, la billebaude, l’attente, l’affût, l’approche ou la chasse de groupe et en groupe. Personnellement une billebaude ou une approche génèrent davantage d’émotions qu’une battue à cinquante participants. En solitaire, vous vivez l’intense et vous assumez vos actes jusqu’au bout. Ce défi proposé à la nature de récolter par exemple un brocard d’été ou de prélever quelques sarcelles, vous donne une émotion supplémentaire car vous êtes « acteur-actif », tout comme un chef d’entreprise. Pour réussir votre défi, ce ne sera pas uniquement le fruit du hasard. Vous allez devoir observer sur place, repérer, imaginer, mobiliser vos connaissances livresques sans oublier que Saint Bernard de Clairvaux le claironnait au xiie siècle : « vous apprendrez plus dans les arbres que dans les livres ! » Il est vrai que l’ambiance monacale des moines Cisterciens trouvait son écho sous les hautes futaies de hêtres pour ne pas être !

Pour conclure, je souhaite vous dire combien la chasse est une excuse pour m’évader, analyser, surprendre et être surpris, tout en douceur, loin du vacarme et des nuisibles qui nous pourrissent souvent « la vie ».

Hubert Goës

Sommaire

La chasse me réjouit et me soigne !
—— Première histoire
Découvertes avec chassesetdécouvertes.com
—— Deuxième histoire
Découvertes avec chassesetdécouvertes.com (suite)
—— Troisième histoire
Circonstances exceptionnelles et réussites uniques !
—— Quatrième histoire
Une passée aux canards en Sologne.
—— Cinquième histoire
Un brocard Charentais début Juin, à l’aube une ombre !
—— Sixième histoire
Ma première battue aux grands gibiers dans l’Est de la France.
—— Septième histoire
Battues en BERTRANGES, des grands cervidés au RDV.
—— Huitième histoire
Battue sangliers et chevreuils chez gégé, la Star du Puisaye.
—— Neuvième histoire
Chasse en mauvaise compagnie dans une forêt magique.
—— Dixième histoire
Battues au petit gibier, entre Sologne et Beauce.
—— Onzième histoire
Une billebaude en Sologne à la place d’un poste à pigeons.
—— Douzième histoire
Un brocard d’hiver en Ardèche.
—— Treizième histoire
Cuisse de nymphe émue, non pas la variété de rosier, mais mon accompagnatrice Diane pour une chasse aux brocards.
—— Quatorzième histoire
Une vraie chasse aux lapins naturels en limite de Beauce, en Mars 2021.
—— Quinzième histoire
Chasse au marais : « bécassines, sarcelles et ramiers ».
—— Seizième histoire
Mauvaise pioche, battue aux sangliers.
—— Dix-septième histoire
Le vieux pigache en Beauce.
—— Dix-huitième histoire
La rencontre du vieil oncle.
—— Dix-neuvième histoire
Retour en solitaire à la TOUCHE-HERSANT, ou presque !
—— Vingtième histoire
Approche aux brocards, fin d’été, dernière sortie.
—— Vingt-et-unième histoire
Battue au grand gibier dans le vallon d’AVOT.
—— Vingt-deuxième histoire
Mues de cerfs et émotions !
—— Vingt-troisième histoire
Une chasse réservée aux gardes, au château de DAMPIERRE.
—— Vingt-quatrième histoire
Brocards à l’approche en Aveyron !
—— Vingt-cinquième histoire
Approches aux brocard charentais. Un brocard blessé. Un bât l’eau et beaucoup d’émotions !
—— Vingt-sixième histoire
Bécasses en Bretagne – Novembre 1980 – Un cru exceptionnel !
—— Vingt-septième histoire
Recettes de Gascogne. Faisans – perdreaux et chevreuil.
—— Vingt-huitième histoire
Chasse aux bonheurs.
—— Vingt-neuvième histoire
Chasse aux canards.
—— Trentième histoire
Approches pour un brocard dans le Cantal en juillet.
—— Trente-et-unième histoire
Ma première chasse à l’approche !
—— Trente-deuxième histoire
A la braconne avec mon père !
—— Trente-troisième histoire
BROCARD NIVERNAIS MI-AÔUT AUX BADIERES.
—— Trente-quatrième histoire
Confidences sur le matériel pour chasser !
—— Trente-cinquième histoire
Une passée dans mon petit marnais de Haute-Marne.
—— Trente-sixième histoire
A propos du défi Macnab, imaginons !